Traduction du Français(Européen) vers Québécois


 
 
   →
  

changements:

position:





à propos:

Ce programme fonctionnera le mieux avec l'entrée des conversations en français comparé à un article de journal descriptif sur les événements mondiaux.

Ce programme de traduction ne s'efforce pas d'être grammaticalement correct, et aura quelques erreurs dans sa sortie. Au lieu de cela, le programme donne une idée générale de la version québécoise-française (orale et écrite) et serait très utile aux visiteurs francophones d'Europe ou aux personnes qui ne connaissent que le dialecte français européen. Beaucoup de mots tels que « notre » ou « autre » deviennent « notr » ou « ôte » par la prononciation québécoise, même si les mots seraient écrits exactement de la même façon en France et au Québec. Pensez à mettre en favori cette page.

On pourrait considérer le Canadiens français classés en trois groupes:

1) Français québécois éduqué. C'est la même chose que le français en France, mais avec des expressions québécoises uniques et des substitutions de mots. Il serait parlé par les enseignants, les auteurs, et les journalistes. Par exemple, « bas » au lieu de « chaussures ». Comprend vouvoiement et le futur. « J'en ai plus. »

2) Français québécois de classe moyenne. C'est la même chose que la première catégorie, québécoise-française éduquée, mais avec un certain pourcentage de « joual » de la classe ouvrière. Il pourrait être parlé par un vendeur de voiture, un secrétaire dentaire, ou un policier. Par exemple, « mon char » au lieu de « ma voiture », avec vouvoiement partiel, mais moins formel. « j'en ai pu. »

3) Français québécois de classe ouvrière. C'est la même chose que la 2e catégorie (québécois de classe moyenne), mais avec un joual presque complet. Il pourrait être parlé par les mécaniciens de voiture, les camionneurs ou les commis de vente au détail. Il évite complètement vouvoiement, est le moins formel, cherche la rapidité, et a le plus de substitutions de mot anglais. Par exemple, « Yé pas d'icitte ce gars là. » « J'ai pu. »

           Gradient: J'en ai plus  →  J'en ai pu   J'ai pu

Tous les Canadiens français doivent connaître au moins quelques mots de la classe ouvrière québécoise-française (joual) afin d'interagir avec des gens de toutes les classes. Naturellement, il y a un gradient entre les locuteurs les plus éduqués et les moins instruits. Certaines personnes de la classe moyenne pourraient parler plus formellement en présence de clients de détail, d'anciens, ou de personnes importantes comme des médecins ou des politiciens. Mais les locuteurs de la classe ouvrière ne savent peut-être pas parler ou écrire le québécois français éduqués. Environ 20% des Québécois sont analphabètes. Le français formel pourrait même être perçu comme efféminé par certains hommes de la classe ouvrière.

Ce programme évite les jurons franco-canadiens de nature religieuse.

Ce programme évite les substitutions de mots anglais souvent trouvés dans le français québécois parlé. Par exemple, « je me feelait bien pas bien hier ». (Anglais: « feel » ... « Je ne me sentais pas bien hier. »).




About:

This program will work best with input from French conversations as opposed to a descriptive newspaper article about world events.

This translator program does not strive to be grammatically correct, and will have some errors in its output. Instead the program gives a broad idea of the French-Canadian version of the French language (both oral & written) used in the Canadian province of Quebec, and would be most helpful to French-speaking visitors from Europe, or persons who are only familiar with the European French dialect. Many words such as "notre" or "autre" become "notr" or "ôte" to show Québec pronunciation, even the words would be written the exact same way in both France and Québec. Consider bookmarking this page.

For convenience, one might view Quebec French classified into three groups:

1) educated Quebec French. This is the same as France French, but with unique Canadian expressions and word-substitutions. It would be spoken by teachers, authors, and journalists. For example, "bas" instead of "chaussures." Includes vousvoyer and correct future tense. "J'en ai plus."

2) middle-class Quebec French. This is the same as the first category, educated Quebec French, but with a certain percentage of working-class 'joual.' It might be spoken by a car salesman, a dental secretary, or policeman. For example, "mon char" instead of "ma voiture", with partial vousvoyer, but mostly less formal. "j'en ai pu."

3) working-class Quebec French. This is the same as the 2nd category, (middle-class Quebec French), but with almost complete 'joual.' It might be spoken by car mechanics, truck drivers, or retail clerks. It avoids vouvoyer completely, is the least formal, strives for rapidity, and has the most English word substitutions. For example, "Yé pas d'icitte ce gars là. Ya changé son flat-tire de-même." "J'ai pu."

           Gradient:     J'en ai plus.    J'en ai pu   J'ai pu

All French speakers in the province of Quebec must know at least some working class Quebec French (joual) words in order to interact with people of all classes. Naturally, there is a gradient between the most educated, higher class, and the least educated, working class, speakers. Some middle class people might speak more formal French in the presence of retail customers, with elders, or with important persons like doctors or politicians. But working-class speakers might not know how to speak or write educated French. Approximately 20% of Quebeckers are illiterate. Speaking formal (European) French might even be perceived as effeminate by some working-class men.

This program avoids French-Canadian swear words of a religious nature.

This program avoids English word substitutions often found in spoken Canadian French.
For example, " je feel-ais pas bien hier ".
(European French: " Je ne me sentais pas en bonne santé hier. "
 English: "I didn't feel well yesterday." ).


















Politique de Confidentialité

Plan du Site